Extrait : Ce soir, je vais te parler de l’éternité. c’est comme un couchant qui n’aurait plus de lever. ne cherche pas dans ton esprit la clef de ce mystère, elle n’y est pas encore. C’est comme un lever qui n’aurait plus de couchant. Aime ce couchant sans lever, aime ce lever sans couchant. Aime sans l’après, et l’éternité est là ! Ce livre s’incrit dans le courant de “Des fleuves d’eau vive”.